http://www.fondationdesmaladiesmentales.org/

http://www.unapei.org/

http://www.unafam.org/

http://www.e-sante.fr/

http://www.fondationdefrance.org/

https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises

http://www.ledepartement66.fr/27-les-structures-d-accueil.htm

http://www.mdph12.fr/fr/missions/aides-prestations-handicap.php

http://www.education.gouv.fr/Cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html

Dans le milieu du travail, certaines aides à l’embauche sont disponibles. Elles peuvent concerner l’accès aux contrats de travail aidés ou bien à des mesures forfaitaires qui peuvent servir à couvrir des frais pour accéder à l’emploi.

Ensuite, qu’il s’agisse d’une embauche ou d’un maintien d’emploi, le handicap est pris en compte et permet l’optention de droits d’aides financières.

De plus les personnes handicapées peuvent s’adresser à des structures spécialisées afin d’accéder à l’emploi, d’être accompagnées… Comme par exemple les EZAT.

Reconnaissance du handicap :

-Des cartes d’invalidité, de priorité, ainsi que de stationnement.
Ses reconnaissances apportées ont pour but de faciliter la vie quotidienne.

-La reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.
Cette reconnaissance ouvre droit à certaines prestations pour la personne et l’employeur.

Allocations :

-Allocation d’Education pour Enfant Handicapé (AEEH) et son complément.

L’allocation est destinée à compenser les frais de soins apportés. Elle peut être complétée par la majoration spécifique pour parent isolé.

-Allocation Adulte Handicapé (AAH) et son complément.
L’allocation garantie un minimum de revenu au bénéficiaire.

Orientations :

-Scolarisation et formation pour l’enfant handicapé,

-Orientation professionnelle et formation des adultes,

-Placement en établissement social ou médico-social.

Les orientations scolaires et les orientations en formation professionnelle définissent des parcours vers l’insertion en milieu ordinaire.

L’orientation vers un établissement ou un service médico-social favorise l’évolution de la vie sociale.

Prestations :

Renouvellement de l’Allocation Compensatrice pour Tierce Personne (ACTP), ou Prestation de Compensation du Handicap (P.C.H.).Cette prestation comporte des aides de toute nature, déterminées en fonction des besoins et du « projet de vie » de la personne handicapée, et elle est attribuée sans condition.
C’est la Commission Des Droits et de l’Autonomie qui l’a donne. A partir du plan personnalisé de compensation fait avec l’équipe du bénéficiare.

La prestation de compensation du handicap prend de multiples formes :

-d’aide humaine, elle permet la présence d’un auxiliaire de vie, de rémunérer un service d’aide à domicile, dédommager un aidant familial qui aidera la personne handicapée dans les actes essentiels de la vie quotidienne (se laver, s’alimenter…).

-d’aides techniques, elle permet de se fourinir en matériel comme par exemple un fauteuil roulant, prothèse auditive.

-d’aides à l’aménagement du logement, l’adaptation d’une chambre par exemple, ou l’aide au déménagement pour un logement adapté.

-d’aide à l’aménagement d’un véhicule.

-d’aide animalière pour l’acquisition et l’entretien de chiens guides par exemple.

Les institutions :

Il faut savoir que dans toutes ses institutions les places sont peux nombreuses et il peut parfois avoir du temps pour l’optention d’une place.

Les établissements ou services d’aide par le travail (ESAT).Ce sont des établissements médico-sociaux, accessibles sur décision d’orientation de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). 
Ils permettent aux personnes handicapées qui n’ont pas suffisamment d’autonomie pour travailler en milieu ordinaire, y compris en entreprise adaptée ou de façon indépendante dans un milieu de travail protégé. Ces personnes bénéficient, en fonction de leurs besoins, d’un suivi médico-social et éducatif. Le statut d’un travailleur handicapé en ESAT est particulier, n’étant pas soumis aux dispositions du code du travail.

Ces établissement médico-sociaux accueillent des adultes gravement handicapés, mentalement ou physiquement qui :

-les rend inaptes à toute activité à caractère professionnel.

-et rend nécessaire l’assistance d’une tierce personne pour les actes essentiels de l’existence ainsi qu’une surveillance médicale et des soins constants. 

-ou qui, en dehors du besoin de recourir à l’assistance d’une tierce personne pour les actes essentiels, ont besoin d’un soutien et d’une stimulation constante, ainsi que d’un suivi médical et paramédical régulier.

Les Foyers d’hébergement pour adultes handicapés. Ils accueillent en fin de journée et en fin de semaine des personnes handicapées travaillant soit en établissement de travail protégé, soit en milieu ordinaire ou encore en centre de rééducation professionnelle. Ils peuvent être en lien avec les EZAT, vu lors de nos interview, pour les travailleurs ne pouvant vivre seul. Cela peut juste être une étape dans leur vie.

Les foyers de vie pour adultes handicapés.

Accueil d’adultes gravement handicapés qui disposent d’une certaine autonomie ne justifiant pas leur admission en maison d’accueil spécialisée mais ne sont toutefois pas aptes à exercer un travail productif.

Liens: http://www.ledepartement66.fr/27-les-structures-d-accueil.htm

http://www.mdph12.fr/fr/missions/aides-prestations-handicap.php

C’est un film qui met en avant la relation d’un homme d’affaire avec un jeune trisomique qui, au court du temps, vont créer un lien très fort.

Harry,  un grand homme d’affaires surchargé de travail, comble avec différentes façons le vide effrayant d’une vie seul sans la femme qu’il aimait et qui est partie en emmenant leurs deux fillettes. Un jour, Harry croise le chemin d’un jeune trisomique, Georges, qui a fui l’institut spécialisé où il vivait. Harry n’a tout d’abord qu’une idée : se débarrasser au plus tôt de l’envahissant personnage, qui réclame sans cesse des chaussures neuves dans les magasins et qui risque la mort s’il mange du chocolat. Peu à peu, Harry, ressent une certaine affection pour l’être simple et bon qui s’est accroché à ses basques et l’appelle «mon copain»…

C’est un film très beau et très émouvant, qui est constitué d’une histoire douce. C’est un film que j’ai vraiment apprécié de part, surtout, le lien qui va se créer entre les deux personnages principaux, un lieu amical, qui peut en apprendre à beaucoup je pense.

Je le conseille vivement.

Dans ce roman, le père de deux enfants handicapés aussi bien physiques que mentaux, exprime ses sentiments et émotions durant sa vie auprès de ses enfants, ainsi que ses craintes et angoisses. Il fait aussi part de ses quelques joies, de ses imaginations, de ses moqueries…

Il raconte ainsi dans son livre ce qu’est la vie de parents d’enfants handicapés, au quotidien. Comment ceux ci sont perçus, qu’elle est la vie d’un enfant handicapés, du moins de ses enfants, de leurs différentes capacités et incapacités.

Il fait preuve, au court du livre, d’un humour assez spécial mais qui n’en dégage, au final, rien de méchant.

Voici un petit extrait:

« Je viens d’inventer un oiseau. Je l’ai appelé Antivol, c’est un oiseau rare. Il n’est pas comme les autres. Il a le vertige. C’est pas de pot pour un oiseau. Mais il a le moral. Au lieu se s’attendrir sur son handicap, il en plaisante. Chaque fois qu’on lui demande de voler, il trouve toujours une raison amusante pour ne pas le faire et il fait rire tout le monde. En plus, il a du culot, il se moque des oiseaux qui volent, les oiseaux normaux.
Comme si Thomas et Mathieu se moquaient des enfants normaux qu’ils croisent dans la rue.
Le monde à l’envers.  »

Pour ma part j’ai apprécié ce livre car on a en effet le point le point de vue du père tout au long du roman, et le texte en lui même reste très naturel. L’auteur laisse ainsi passer un certain message qui peut être interpréter de différentes manières en fonction des avis.

Malgré tout, je trouve, tout d’abord de par le thème général, mais aussi par la façon de parler de l’auteur, que ce livre est assez triste, mélancolique et parfois même surprenant mais finalement je pense que ce sont ces particularité qui font qu’il est apprécié. Il reste, en fond, un très bon livre, assez court, que je conseille.

J’ai suivi une faculté de psychologie, puis un doctorat en sciences humaine et sociale, pour enchainer sur une licence de psychologie. J’ai raté mon concours d’éducateur spécialisé, j’ai donc réalisé des remplacements dans des écoles catholique puis j’ai passé mon concours d’enseignante. À la suite de ça, j’ai fait une formation en deux en alternance lorsqu’il y a eu une délocalisation d’une classe d’ULIS. J’ai toujours voulu sauver le monde, et ce métier me convenait.

Est-ce que c’est difficile psychologiquement ?

Cela dépend des années, selon les enfants. Il faut être bien dans sa tête car chaque enfant sent quand ça ne va pas.

Est ce que les études sont complexes ? Ou plus ardues que celle d’un simple enseignant ?

Oui , j’ai fait ma formation en alternance et on vous teste, c’est une formation bouleversante. Elle se fait en étant adulte car on a plus de motivation, on a souvent déjà un métier.

Depuis combien de temps exercez vous ?

Depuis 2009 en ULIS mais je suis enseignante depuis 2000.

Encourageriez vous les jeunes à exercer ce métier ?

Oui , c’est passionnant. Surtout avec la recherche actuelle. La théorie de la plasticité cérébrale c’est à dire le faite que le cerveau soit en mouvement et que l’on puisse le déstabiliser pour progresser est intéressant. On se rend compte que si certaines parties du cerveau ne fonctionnent pas,d’autres peuvent les remplacer.

Est ce que votre vision sur les jeunes handicapés à changer ?

Oui, lorsque le dispositif a commencé, je voulais réellement mettre les enfants en inclusion. J’ai ensuite compris qu’il était possible de vivre avec des enfants de son âge mais de travailler aussi des notions de son niveau.

Est ce que vous suivez les jeunes après la fin de leur parcours dans votre classe ?

J’essaye, je reçois leur bulletin et souvent ce sont eux qui reviennent me voir

Comment voyez vous l’évolution de votre métier ?

Il y a de plus en plus d’enfants handicapés et de moins en moins de moyens. Sur le long terme, je pense que les enfants seront tout le temps dans leur classe et qu’ils auront un enseignant spécialisé pour eux seuls.

Est ce que ce métier vous apporte dans votre vie personnelle ?

Oui beaucoup. Cela apporte un recul sur soi-même. Il nous donne parfois des leçons de vie. Il me permet de relativiser sur ma vie quotidienne. Et m’a aussi permis de développer mes capacités d’adaptation.

Bénéficiaires de ses emplois :
L’obligation d’emploi concerne tous les salariés du secteur privé(un restaurant) ou public (la poste), qu’ils soient en contrat à durée indéterminée (CDI) ou déterminée (CDD), en intérim, à temps plein ou à temps partiel, en contrat d’apprentissage ou en milieu professionnel (EZAT).
Chaque personne employée est prise en compte en par rapport son temps de présence dans l’entreprise dans les conditions suivantes :
-le salarié dont la durée de travail est égale ou supérieure à la moitié de la durée légale, soit 17,5 heures minimum, compte pour 1 unité (comme s’ils avaient été employés à temps complet) multipliée par le nombre de jours présence annuelle.
-le salarié dont la durée de travail est inférieure à la moitié de la durée légale compte pour une 1/2 unité multipliée par le nombre de jours de présence du salarié annuelle.
Conditions pour qu’une entreprise remplisse l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés :
Pour être considéré comme bénéficiaire de l’obligation d’emploi, il faut remplir certaines conditions. Il faut faire parti d’un accord agréé d’entreprise mettant en œuvre un programme en faveur des travailleurs handicapés devant obligatoirement comporter :
-un plan d’embauche en milieu ordinaire.
-un plan de maintien des emplois.
Au moins une des actions suivantes :
-un plan d’insertion et de formation.
-un plan d’adaptation aux technologies.
Ils remplissent partiellement leur obligation d’emploi s’ils ont engagé l’une des actions suivantes :
-accueil de personnes handicapées dans le cadre d’un stage ou d’une mise en situation en milieu professionnel (ou stage d’observation), dans la limite de 2 % de l’effectif de l’entreprise, et pour une durée égale ou supérieure à 35 heures par personne,
sous-traitance avec le secteur protégé ou adapté (représentant seulement 50 % de l’obligation légale d’emploi) avec des contrats de fourniture de biens ou de prestations de services avec :
-des entreprises adaptées (EA)
-des centres de distribution de travail à domicile (CDTD)
-des établissements et services d’aides par le travail (ESAT, les ex-CAT)
-ou des travailleurs indépendants handicapés
-contribution à l’Agefiph.

Contribution Agefiph :
Si l’employeur ne participe pas à l’obligation d’emploi il devra alors compenser avec de l’argent reverssé à Agefiph. Cette partiipation est calculée en fonction du bénéfice net de l’entreprise et de la taille de l’entreprise.
Si dans un délai de 3ans l’entreprise n’a pas payée elle sera punis d’une amande de 14 640€.
DOETH :
Chaque année l’employeur doit déclarer l’obligation d’emploi des travailleurs ou la DOETH avant le 1er Mars.
Lien : https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises.

On désigne les maladies psychiques par l’ensemble des problèmes affectant l’esprit; il s’agit généralement d’un dysfonctionnement psychologique.

La plus part du temps, ces perturbations provoquent, chez l’individu concerné, des sensations de malaises, de bouleversements émotifs et émotionnels, ainsi que des difficultés de comportement

Les causes de ces maladies psychiques restent encore inconnues pour certaines mais on connaît certains éléments déclencheurs, c’est souvent des événements douloureux qui jouent un rôle important; comme par exemple la perte d’un être cher, un divorce, la perte d’un emploi, une maladie, un accident…

De plus, grâce à la technologie moderne les chercheurs ont découvert une origine biologique à certaines maladies. En effet, la sérotonine présente dans le cerveau fait partie des substances qui seraient importantes au développement d’une maladie, comme la dépression.

Les recherches démontrent que les maladies psychiques sont les conséquences d’une interaction de facteurs génétique, biologiques, des traits de la personnalité et de l’environnement social.

Les facteurs des risques ne sont pas encore des notions exactes mais cependant, les recherches démontrent que les maladies psychiques peuvent être la conséquence d’une combinaison de plusieurs facteurs.

L’apparition des troubles peut se manifester à de nombreuses reprises, sous différentes formes et à différents âges. Cette apparition est progressive, elle est d’abord caractérisée par un reniement de la situation et un changement du comportement. Mais il est aussi possible que l’apparition des troubles soit brutale et ainsi dangereuse a la santé de l’individu et de son entourage. Ces apparitions connaissent ainsi des étapes.

En effet, la « crise » est le point culminant de la maladie, celle-ci peut se manifester par une tentative de suicide, elle aboutie généralement à une hospitalisation perçue comme un « enfermement » par la personne concerné mais reste avant tout une étape vers la stabilisation.

Les différents troubles psychiques sont principalement la schizophrénie, maladie qui se manifeste vers la fin de l’adolescence, c’est un dysfonctionnement anormal de certains circuits neuronaux du cerveau; c’est l’une des maladies les plus sévère et durable.

Les troubles bipolaires sont caractérisés par deux phases, une phase dépressive et une autre maniaque. Entre ces deux phases, la personne souffre de maladie bipolaire. Le plus gros risque de cette maladie est le suicide.

Sources: unafam.org / e-sante.fr / fondationdefrance.org

Il se traduit par des incapacités plus ou moins importantes au niveau de la réflexion, de la communication, de la prise de décisions. C’est pour ces raisons que ces difficultés doivent être compensées au quotidien par un accompagnement humain adapté a la personne et qui peut évoluer au cours du temps en fonction de celle-ci

Concernant les origines de celui-ci, cela reste encore un sujet assez vague car en réalité les raisons d’un handicap sont extrêmement diverses et restent, la plus part du temps, inconnues.

Mais contrairement a ce que peuvent penser les gens, le handicap n’est pas seulement héréditaire mais principalement génétique, comme par exemple une anomalie chromosomique (trisomie 21) ou les maladies génétiques (X fragile).

En dehors des causes génétiques, cela peut provenir d’une malformation cérébrale, d’un disfonctionnement ou encore d’un accident durant la grossesse ou bien à la naissance.

Les conséquences d’un tel handicap sont différentes pour chaque individu atteint, selon son niveau de déficience, ses prédisposition, son environnement de vie…Quoi qu’il en soit,, un accompagnement humain est fortement conseillé et même indispensable pour aider et soutenir la personne afin d’acquérir de l’autonomie et une meilleure communication.

En effet pour chaque individu les difficultés diffèrent en fonction d’un handicap plus ou moins sévère. Les conséquences les plus souvent observées restent tout de même:

• un manque permanent de concentration
• des difficultés à fixer son attention
• se repérer dans l’espace et le temps
• mobiliser son énergie
• maîtriser la lecture, le langage, l’écriture, la communication.

Malgré les progrès de la médecine, le diagnostic d’une pathologie handicapante n’est pas toujours réalisable dès la naissance mais le retard de développement d’un enfant reste le premier des signes qui en principe alarme l’entourage. Dès ce moment il est important de prendre contact avec des acteurs du dépistage qui pourront faire un diagnostic.

En effet les signes qui dénoncent le handicap chez l’enfant sont:

-un comportement qui déstabilise les autres enfants

– il a du mal à s’intégrer

– il est coléreux

-il parle très peu..

Ces signes restent tout de même divers

Les handicaps mentaux les plus courants sont l’autisme qui correspond à un trouble du développement précoce; le polyhandicap, qui correspond à des déficiences cognitives et sensorielles; la trisomie 2, handicap lié à une anomalie chromosomique; le X fragile qui est une maladie génétique qui provient d’un désordre au niveau du processus génétique.

Sources: fondationdesmaladiesmentales.org / unapei.org /